Du nouveau à l’étalage !
ANDREVON-CHANSONS

Pour ceux qui l’ignoreraient, mes efforts créatifs ne s’expriment pas seulement par le dessin, la peinture et l’écrit, mais aussi par la chanson. Eh oui, depuis mon plus jeune âge, à savoir mes 15/16 ans j’ai, comme beaucoup d’ados de cette époque, acheté une première guitare, pour interpréter les chansons de mes idoles d’alors : Brassens, Brel, Félix Leclerc, Jean-Claude Darnal, Le Déserteur  de Boris Vian,  et surtout le répertoire quasi-complet d'un auteur-compositeur-interprête que j'ai toujours considéré comme un phare, un (grand) frère, bien oublié aujourd'hui, devenu trente ans plus tard un ami avant de faire comme tout le monde — mourir. Son nom : Stéphane Golmann.  Puis, très vite, j’ai composé mes propres chansons, participé à des radio-crochets, à une émission célèbre, la Fine Fleur de la Chanson, sans oublier les manifestations écolos ou les  boîtes à chansons, comme le Grenier de la Table Ronde à Grenoble, ou le célèbre cabaret Chez Georges, rue des Canettes à Paris. Je me suis par la suite fait plus discret, trop pris par d’autres activités, et à vrai dire aucunement tenté par une carrière faite de continuelles transhumances.

 

Quand même, le temps passant, une constatation douce-amère est venue me ronger en sourdine : de toutes ces chansons, 50 ans de vie de mirliton, ne restera-t-il aucune trace quand je ne serai plus là (ni ailleurs) ? C’est alors que, comme Zorro, Bruno Pochesci, jeune musicien et chanteur parisien est arrivé, étant un jour tombé sur un mince recueil de quelques-uns de mes textes. Et avait eu à leur sujet le même réflexe que moi. De fil en aiguille, mais très rapidement, il m’a permis d’enregistrer un premier CD de 15 titres, assumant tout, de la prise de son au mixage et à l’accompagnement en post-production. Je tiens ici à l’en remercier chaleureusement. Fallait-il alors en rester là ?  J’ai mis à plat toutes les chansons que j’avais pu écrire depuis le milieu des années 50, j’ai relu, trié, pour en sélectionner Cent-et-une, un nombre agréable à l’oreille, et qui fait un bon titre pour le recueil que j’ai fait éditer, de concert avec le CD, par Langage-Tangage, la micro maison d’édition créée par mon amie Danielle Helme.

Voilà donc le résultat de neuf mois de travail pour cette belle année 2007 :

Je viens d’un pays, CD comprenant 15 titres, dont un texte parlé et une chanson de Stéphane Golmann.
En vous rendant sur ma page MySpace, vous pourrez écouter quatre de ces chansons : http://www.myspace.com/andrevon

   

Cent-et-une chansons, recueil d’autant de textes ( dont les 14 interprétées dans le CD), enjolivés de six dessins.

Si vous désirez vous procurer ces productions, une seule adresse* : celle de l’auteur, qui vous servira à domiciles grâce aux bons services de la poste.

    • Le CD : 12 € plus le  port ( 2, 11 €)
    • Le recueil : 15 € plus le port  ( 2, 90   €)
    • Les deux : 27 €, port gratuit.

Et maintenant… comme il vous plaira. Merci en tout cas d’avoir lu jusqu’au bout

*Merci d’adresser un chèque libellé en euros et établi à l’ordre de « J.P. Andrevon » à l’adresse ci-dessous en précisant les titres et le nombre des produits souhaités. N’oubliez pas d'indiquer votre adresse pour l’expédition.

Jean-Pierre Andrevon
42 rue Saint-Laurent
38 000 - Grenoble